• LE RETOUR INATTENDU !!!!!!!!!!!!!!!!

    Salutatiooooooons !!!!

    Bon, et bien je crois qu’il est temps de reprendre le shmilblick. Après une très courte période d’absence totale de ma part, je reviens dans le monde merveilleux du blog. De part parce que cela permet de donner des nouvelles à tout le monde, mais aussi car j’aime bien. Mais il y a un petit souci, en effet, contrairement à l’année dernière où j’avais beaucoup de temps et peu de choses à dire, en ce moment j’ai beaucoup de choses à raconter et très peu de temps.

    Par où commencer ? Tellement de choses à partager dans cette fabuleuse vie universitaire ! Bon, tout d’abord, faisons un petit récapitulatif de mon premier Semestre. Je vais essayer d’être succinct. Tout d’abord, il y a eu la « Welcome Week », qui est un évènement destiné à rencontrer des gens et visiter les différents campus de l’Université. Donc il y a eu pleins d’évènements, Olalala trop bien, sauf que je ne me suis pas beaucoup déplacé. Il n’y a qu’une seule fois où je me suis un peu bougé (un concert de rock, je me suis dit que cela allait être sympa), mais j’ai finis par partir car je me suis ennuyé comme un rat mort (Le gros fun du rat mort si vous voyez ce que je veux dire) car à l’époque je n’étais pas très ouvert aux autres. Donc voilà, Welcome Week, j’ai rencontré personne, Woohoo !!

    Désormais, je vais vous expliquer un peu ma vie académique. Je vais donc poser des questions et y répondre par moi-même (comme dans les lectures, mais je vous en parlerai après). Qu’est-ce que j’étudie ? Mon cursus (qui dure donc quatre années) est intitulé « Bachelor of Science with Honours Ecological and Environmental Sciences ». Oui, c’est en effet plutôt classe. Pour les non-anglophones, j’étudie l’écologie et l’environnement. Ce qui est sympathique, c’est que durant ces quatre années, je peux choisir mes cours. Il y a certes des cours obligatoires, mais nous avons tout de même une grande flexibilité. Durant mon premier semestre mon cours obligatoire est intitulé Origin and Diversity of Life (ODL), l’Origine et la Diversité de la Vie. Ce cours est un cours qui mélange de la biologie moléculaire, de la botanique et un peu d’évolution. Voilà, j’ai ensuite la possibilité de choisir deux autres cours, qui peuvent être totalement différents de mon cours principal. Si je le souhaite, je pourrais prendre un cours d’Allemand et de Chinois à côté, mais l’utilité est moindre comparé à ce que je fais. Tout ça pour dire que j’ai l’embarras du choix ! Et je peux vous dire qu’il y en a du choix, j’ai bien passé des heures à regarder tous les cours possibles, et il y en a un paquet ! Mais au final, j’ai décidé de prendre Chimie Biologique et Météorologie. Chimie Biologique était très clairement le cours le plus dure des trois, avec un peu de mécanique quantique, de configuration de molécules, d’acides et de bases, et patati et patata, vous voyez le tableau de l’amusement maximum. Cependant, l’ironie a voulu que pendant ma semaine de révisions, j’ai tellement bachoté ce cours qu’il est devenu celui dans lequel j’étais le plus à l’aise ! La Météorologie est devenue une passion dès les premiers instants, j’ai tout bonnement adoré ça ! C’est absolument passionnant !!! Au début nous ne parlions que des instruments de mesures, des petits nuages dans le ciel, etc. Mais après quelques semaines la réalité est arrivé comme un bon TGV des familles sur moi. La météorologie est une branche de la Physique, cela fait trois ans que je n’en ai pas fait, et ce n’est clairement pas du niveau de seconde ! Je ne me suis cependant pas découragé, et j’ai commencé à apprécier puis à adorer ça. J’étais à fond là-dedans qu’à chaque fois qu’un de mes amis avait une question, il me la posait à moi. Ce qui est plutôt gratifiant je vous l’accorde. Cela m’a aussi permis de renforcer mes connaissances dans certains sujets car le fait d’expliquer un concept un quelqu’un permet de se rendre compte de certains points faibles dans nos raisonnements ou connaissances. Mais voilà, tout ça pour dire que j’adore (en plus, je comprends désormais tellement de choses par rapport à l’atmosphère et au climat c’est génial !). Les cours sont évalués de deux manières : L’examen semestriel, et le travail fait durant le semestre. L’examen semestriel est un examen classique, il n’y a pas grand-chose à dire. Par contre, le travail durant le semestre est divisé en plusieurs sous catégories : Les laboratoires et les essais. Les Labos, c’est franchement sympa, que cela soit en Chimie où l’on fait des expériences, en ODL (Biologie) où l’on fait des études sur la génétique, l’évolution et tout ça (sympathique sauf quand ta partenaire est chinoise qu’elle passe toute l’explication de la procédure sur son téléphone et que par conséquent elle est perdue, de ce fait, je lui réexplique tout, mais devinez quoi, elle comprend la moitié de ce que je raconte, ainsi, je me retrouve à faire les expériences tout seul. Mais c’était quand même sympathique et intéressant), ou encore en Météorologie où l’on utilise des instruments de pointe, des expéditions sur le toit du building pour faire des observations (sauf que nous avons des feuilles et que nous sommes en Écosse, par conséquent la pluie et le vent sont de type plutôt gustatif). Les essais, c’est concrètement ce que nous appelons une dissertation en France. Heureusement que je n’en avais qu’un seul à faire, car je ne m’étais pas très bien organisé. J’étais habitué à des dissertations de philosophie, d’histoire, ou encore d’économie, mais les dissertations scientifiques sont tout à fait différentes. Premièrement, tout ce que tu dis doit être appuyé par quelqu’un. Chaque idée que tu avances, chaque statistiques, exemples et j’en passe, doivent absolument être référencés. Il y a donc un vrai travail de recherche derrière un essai. Ce n’est pas comme en Philosophie où tu peux y aller à la One again, là on parle de choses sérieuses. Place à une petite anecdote amusante, comme je suis un procrastinateur professionnel, j’ai un peu reporté le travail nécessaire à mon essai d’ODL. Mon essai était à propos de l’origine et des impacts de la biodiversité au sein d’une espèces et entre les espèces. Mon espèce (ce n’est pas tellement une espèce spécifique, mais plus un ordre (groupe d’espèces) était celle qui regroupait les Reptiles, comme c’est un groupe assez vaste, j’ai eu pas mal d’exemples. Cependant, c’est la veille de la date limite que je me rends vraiment compte que je n’ai pas du tout terminé. Par conséquent, je décide d’aller chez mon bon ami dénommé Cesare (un italien de type très sympathique) pour travailler. Je suis arrivé chez lui à 14h, et je suis repartis à 5h du matin. Nous avons taffé comme jamais je peux vous le garantir ! Mais j’ai eu 68% ce qui est à 2% d’un A. Et j’ai eu plus que certains qui ont commencés deux semaines avant (ils étaient un peu dégoûtés).

    Les cours prennent trois formes : Les Lectures, les tutoriels et les labos. Les lectures (à lire en Anglais sinon nous pourrions croire qu’il s’agit juste d’un érudit qui nous lit sont livre de chevet préféré) sont l’équivalent des amphithéâtres en France. C’est immense et impersonnel. Mais le Lecturer (celui qui nous fait cours) est un animal sauvage très spécial. Dans son élément naturel, il peut être à la fois aussi énergétique qu’un paresseux sous sédatif (ce qui résulte fatalement à une sieste de une heure offerte par l’université), où alors complétement boosté de caféine où les élèves vont alors boire son flot de paroles passionnées. Mais parfois, ils vont tenter de poser une question à son audience. Ce qui résulte la plupart du temps à réponse qu’ils donneront eux-mêmes car personne n’a envie de hurler une mauvaise réponse à travers un énorme amphithéâtre de 350 personnes. Mais l’exception fait la règle, car j’ai eu un Lecturer de Météorologie qui était un peu spécial. Et en gros, si personne ne répondait à sa question, il va tout simplement attendre, nous étions alors obligés d’y répondre. Il y avait parfois des bons gros silences de cinq minutes dans l’amphithéâtres jusqu’à ce que quelqu’un essaye. En plus il avait un accent Italien très prononcé, ces lectures étaient ainsi plutôt amusantes. Les Tutoriels sont des classes normales avec une vingtaine de personne où nous allons plus profondément dans le sujet et avec plus d’interactions. Et enfin les labos qui durent tous trois heures et j’en ai déjà parlé.

    Donc tous cela est le corps principal de l’académie, mais maintenant, place à la vie universitaire ! Comme je l’ai précisé plus haut, je n’ai pas rencontré grand monde durant la Welcome Week. Et durant les premières lectures, j’arrivais souvent pile à l’heure, du coup pas le temps de discuter avec d’autres Homo Sapiens. Mon histoire Sociale a commencé dans un ascenseur. Lorsque je montais au huitième étage pour faire un laboratoire de Météorologie, je me perdais dans mes pensées, et tout à coup le jeune Homo Sapiens à côté de moi me demande si je joue de la batterie. Je lui réponds que non, je fais un peu de guitare et de basse mais ça ne vole pas haut, je lui demande alors pourquoi cette question. Il me répond qu’il avait un batteur dans son groupe qui me ressemblais fortement et que du coup cela serait amusant de trouver un style de personne qui pourrait être susceptible d’être batteur. Nous continuons donc de parler de se présenter tout ça. Et très vite nous sommes devenus très proche. Comme c’est un excellent cuisinier, il m’a appris beaucoup de choses. Et surtout, il est aussi timbré que moi, ce qui est plutôt rare. Grâce à son côté très extravertie, il m’a fait rencontrer plein d’autre personnes, et ma vie sociale à enfin commencé.

    En dehors des cours, nous avons aussi la possibilité de rejoindre des sociétés. Il y a beaucoup, environ 200 si je me souviens bien. Cela va d’associations sportives comme le rugby jusqu’à des associations de lectures (cette fois-ci vraiment de lecture, pas une société d’amphithéâtre). Je n’en ai rejoint que deux, mais le seconde est malheureusement délaissée car elle est beaucoup trop chronophage. Ma première n’est autre que l’équipe de Quidditch d’Edinburgh ! Et oui, c’est bien le sport d’Harry Potter où ils volent tous sur des balais ! Je pratique cependant la version Moldu de ce sport (personne n’ayant pas de pouvoirs magiques dans l’univers d’Harry Potter). Je pourrais littéralement passer des heures à parler de ce sport absolument génial, mais je n’ai pas assez de temps pour ce faire. Sachez juste que désormais, je trouve la plupart des autres sports moins intéressants car ils n’ont qu’une seule balle en jeux (alors que le Quidditch en a trois différente sortes, quatre en même temps sur le terrain et à partir d’une vingtaine de minutes, le Vif-d’Or arrive en jeu). Les gens dans cette équipe sont absolument superbes, tous plus fou les uns que les autres, et je ne m’ennuie jamais avec eux ! La seconde société est la société de planeurs ! Et oui, j’ai piloté un planeur et c’était absolument génial. Cependant, nous devons partir à 9h et nous ne rentrons qu’à 18h car on ne peut pas voler en plein milieu de la ville. Je pourrais pareillement passer des heures à vous en parler car les sensations sont extraordinaires et indescriptibles et aussi car je peux appliquer directement des concepts que j’apprends en cours de Météorologie !! Chose amusante, un planeur peut voler indéfiniment (ou en tout cas, jusqu’à ce que la météo devienne trop défavorable, grâce à l’air chaud qui monte lorsqu’il y a du soleil ou lorsque le vent devient verticale s’il rencontre un montagne), il y a d’ailleurs quelqu’un dans le club qui est déjà partis du centre de planeur (quelques kilomètres au Nord d’Edinburgh) jusqu’à la pointe Nord de l’Écosse, puis il est revenu jusqu’à la frontière entre l’Écosse et l’Angleterre, il est ensuite remonté tout au Nord, redescendu au Sud, il voulait voler en Angleterre, mais apparemment il avait oublié sa carte, il est du coup revenu au club, et tout ça a duré sept heures !!!!!

    Cas un peu spécial, le Ceilidh (prononcé « Kayli »). Je n’ai pas rejoint la société de Ceilidh, mais j’y vais toutes les semaines. Mais qu’est-ce c’est que c’est que cela pourrait bien être que le Ceilidh Douglas ? Mais très simple (ou pas) ! Il s’agit du regroupement de la majorité des danses Écossaises (une sorte de mélange entre la danse Irlandaise et Bretonne). Et c’est ABSOLUMENT GÉNIALISSIMEEEEEEEEEEEEEEEE !!!!!!!!!!!! Je ne peux vous décrire à quel point c’est génial. C’est tellement enivrant, puissant et énergique ! Ah parce que c’est sportif tout ça ! Les gens sont adorables là-bas, les écossais tout particulièrement !

    J’ai beaucoup trop de choses à vous raconter, surtout que j’aime bien vous partager quelques anecdotes, mais je me dois de le faire en détails, et j’en oublie aussi. Tout ça pour dire que j’ai eu un premier semestre du tonnerre !!!!

    Je dois aussi dire que le Second débute de manière explosive ! Je me réveille à 7h, je pars en vitesse à 7h30 et rejoins Cesare à un point de rendez-vous. Nous nous dirigeons vers Arthur’s Seat (qui est l’énorme volcan éteint en plein milieu de la ville). On attache nos vélos à mi-chemin d’une des « collines » qui composent le parc d’Hollyrood (dans lequel se trouve Arthur’s Seat, comme le Mont Blanc se trouve dans les alpes, même s’il n’y a pas de chaîne de montagne en plein centre-ville) et nous montons en haut de cette dernière. On s’assoit profite de la vue et de l’air frais. Il est désormais 8h45. Nous redescendons, nous allons chez lui en vélo et nous prenons un bon petit déjeuner (des toasts avec de l’avocat et un œuf poché avec du cumin et du citron). 9h45, on remonte sur montures de fer afin d’assister à notre première lecture à 10h. 10h50, une fois la lecture terminée nous sortons et nous nous rendons compte que la lecture suivante est dans 10 minutes et se trouve dans le campus central (à 2,72 kilomètre de là où nous étions) et c’est ainsi que nous avons réalisé qu’il fallait faire cette course contre-la-montre deux fois par semaines. Nous nous élançons, quand Cesare mon dit que ses deux pneus sont à plat. Je lui dis qu’il n’y a pas de souci, il y a un garage sur le chemin. 10h54, nous sommes dans le garage, il était censé juste regonfler ses pneus. Je me tourne pour prendre une clef à molette afin de réajuster ma selle, je me retourne et je vois une épave à la place de son vélo. Je lui demande alors mais que diable fait-il, car nous n’avons plus que cinq minutes avant le début de la lecture. Il me rétorque alors, d’un air interloqué car pour lui sur le moment c’était tout à fait normal, et bien je change mes pneus pardi ! 11h00, nous sommes encore au garage à réparer son vélo. 11h20, sa machine de guerre est prête et prête à partir. Nous sortons, et je décide alors d’accélérer afin de rattraper un retard beaucoup trop important. Au bout d’un kilomètre environ, je me retourne, pas d’Italien en vue, je me suis dit qu’il a dû prendre un autre chemin vu que son vélo est de meilleure qualité et que c’est un meilleur cycliste. Je décide alors de continuer. 11h26, j’arrive dans l’amphithéâtre, mais l’entrée est devant, juste à côté du Lecturer. Et BIM la bonne première impression. Je me retourne, et l’entièreté de la salle à ses yeux sur moi. Au moins une centaine. Cet amalgame de yeux perçants fût assez lourd à porter pendant ces 1,68 secondes. Je m’assieds et prend des notes. Mais pas de Cesare. 11h50, fin de la lecture, aucun Cesare en vue. Je sors, je l’appelle et lui demande par quel enfer n’est-t-il pas ici. Il me répond jovialement que c’est parce qu’il est resté là-bas pour peaufiner son avion de chasse. 12h05, au garage en sa compagnie. Nous réalisons que ce garage est génial car ils nous fournissent les outils et nous pouvons tout réparer nous-même. En plus de pouvoir acheter des pièces détachées d’occasions pour rien du tout. Mais nous devons nous dépêcher, la prochaine Lecture approche. Nous sommes donc allés manger chez lui. 13h50, nous allons au campus. 14h10 la lecture commence. 15h00, la Lecture prend fin et nous sommes incroyablement « hyped » (surexcité) car c’était l’introduction de notre cours principal et ce qui arrive va être absolument incroyable et les Lecturer sont absolument géniaux (nous en avons déjà eu quelque uns). Nous décidons de retourner au garage. 15h20, au garage, je me suis rendu que mon frein arrière était défaillant. Je décide donc d’en acheter un d’occasion pour £3 et réparer tout ça par moi-même. En plus de changer la selle car le cuir commençait à partir. Il faut savoir que ce vélo appartient à ma tante qui l’a eu durant ses études. Ce vélo en a vu des choses ! 17h15, le magasin ferme. Nous partons respectivement dans nos maisons afin de se changer. Car nous venons d’apprendre que des amis ont organisés un dîner de retrouvailles. 18h, je pars de chez moi pour rejoindre tout le monde chez l’hôte. 18h20, nous nous rendons que nous ne savons pas où l’hôte habite car il a déménagé. Mon téléphone n’a plus de batterie et Cesare n’a pas son numéro. Nous attendons du coup que quelqu’un nous ouvre la porte du bâtiment. 18h24, une personne rentre et nous laisse gentiment passer (il faut savoir que c’est un immeuble fait pour les étudiants de l’Université). Nous entreprenons notre quête de connaître l’adresse exacte de l’hôte (nous savons qu’il se trouve quelque part dans cette rue habitée par des étudiants). Porte par porte et étages par étages nous finissons par trouver quelqu’un qui nous dit qu’il habite dans un bâtiment pas loin. Nous la remercions et sortons. 18h26, nous nous sommes rendu comptes que les indications de cette gente dame était des plus déplorable et par conséquent inexploitable. C’est alors que Cesare se souviens qu’un ami habite ici, nous sonnons à sa porte, rentrons et nous installons en attendant d’avoir plus de nouvelles (cet ami était aussi censé venir dîner). Au bout d’un certain temps, l’« Hôte » sonne et rentre avec des casseroles à la main. En fait, c’était ici.  20h, après un bon dîner, nous partîmes vers un bar où une amie de Cesare était censée chanter. 20h25, c’est un bar où n’importe qui peut jouer sur scène, et c’est génial. Une simple petite scène, un « dancefloor » de 10 m², une vingtaine de personnes. 21h15, son amie passe sur scène. 21h30, c’était fort sympathique. 23h, il faut savoir que je suis complétement sobre et que je n’ai pas bu d’alcool, mais je pense que j’avais l’air le plus en état d’ivresse de toute la salle. Mais pour être franc, j’étais ivre, ivre de joie et de bonheur. Au moins 3,6 g/L de sang. Je n’avais plus aucunes limites, plus de limitations sociales, le regard des autres ne m’importait plus, j’étais là pour profiter de la musique, des amis, de la vie. 23h25, nous partons du bar. 23h35, nous sommes assis Cesare et moi dans un parc pas loin à se dire que cette journée est la première journée académique de 2017. Nous avons fait fort, très fort. 00h00, je rentre chez moi, je me couche et je me dis que cette journée a été absolument fantastique et je ne l’oublierai sûrement jamais.

    Voici une journée, et ce rythme est soutenu. Le lendemain rebelote, trois mille activités différentes, et nous nous sommes dit que chaque jour, nous devons découvrir un nouvel endroit. Par exemple, aujourd’hui nous sommes allés à la plage, à 20 minutes du centre, nous avons déjeuné avec la musique de l’Océan et de la faune maritime et encore une fois nous nous rendons compte à quel point la vie est le plus beau cadeau que l’on puisse avoir, et c’est pour cette raison précise qu’il faut chérir ce cadeau chaque minute qu’il nous offre.

    Je ne sais pas si vous allez recevoir une notification car cela fait bien longtemps, mais nous verrons bien. Encore navré pour le retard, mais mieux vaut tard que jamais !

    P.S. : Je viens de me rendre compte que cet article fait deux fois la taille de mon essai de ODL et que j’ai passé quatre heures dessus ! Et je suis aussi navré pour mes fautes d’orthographe, je suis fatigué et je ne parle plus trop français en ce moment.

     

    Gros bisous à tous !!

     

     


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